Le gouvernement togolais a signalé vendredi 16 mai 2025, un premier cas de Mpox, également connu sous le nom de variole du singe.
Il s’agit d’une femme de 22 ans, résidant dans le district sanitaire du Golfe, actuellement hospitalisée dans un service dédié aux maladies infectieuses.
Quelques jours plus tard, deux nouveaux cas (un homme et une femme) ont été confirmés, portant à trois le nombre total de cas recensés au Togo.
Selon le Professeur Anoumou Dagnran, coordonnateur du comité de riposte, ces patients ont été en contact avec plus de 55 personnes. Il précisé mercredi que trois cas, ont présenté des lésions cutanées, notamment sur les paumes des mains et d’autres parties du corps.
« L’isolement des patients est essentiel pour briser la chaîne de transmission, et c’est ce que nous avons mis en place dès la détection des premiers cas », a déclaré le Professeur Dagnran.
Pour endiguer cette maladie contagieuse, le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique a intensifié la surveillance épidémiologique, mis en place une prise en charge des cas et lancé une campagne de sensibilisation sur les mesures de prévention.