Les réformes se poursuivent dans le secteur de l’éducation au Togo, pour garantir un enseignement de qualité aux apprenants. Pour atteindre cet objectif, le ministère en charge des enseignements primaire et secondaire, depuis quelque temps est à pied d’œuvre, en vue d’assainir le domaine.
Pour le compte de l’année scolaire 2023-2024, Il a été annoncé en juillet dernier, la fermeture de 255 ‘’écoles clandestines’’ de Lomé à Dapaong. En fin de compte, ce sont 132 établissements privés laïcs, qui ferment leurs portes, dès la rentrée scolaire prochaine.
Selon les autorités éducatives, ces écoles ne fournissent ni un environnement de formation et d’apprentissage sécurisé ni la garantie de la qualité de l’éducation conformément à la feuille de route gouvernementale 2020-2025.
Dans la foulée, elles travaillent sur l’augmentation irrationnelle des frais de scolarité dans certains établissements privés laïcs. Lors d’une rencontre de concertation, tenue le 22 août 2023, les promoteurs ont promis, s’engager dans une démarche d’harmonisation et de plafonnement des frais scolaires en fonction des zones pédagogiques. Ceci pour éviter la surenchère et soulager les parents d’élèves.
Le système éducatif togolais, est aujourd’hui en pleine mutation grâce aux efforts des autorités. Il va sans doute s’améliorer et se renforcer au fil du temps, grâce la vision portée par les autorités togolaises.